Superbe photos et cela fait du bien au cœur de voir que tous les belges ne sont pas des moutons lobotomisés. Les Marolliens sont les derniers vrais belges, ceux qui savent encore ce que veut dire « L’union fait la force » Mayeurke en creusant ton parking t’est tombé sur un os, et tu vas te casser les dents.
Qu’est-ce qu’un « vrai marollien », un « vrai bruxellois », voir un « vrai belge » aujourd’hui avec 50% de la population régionale qui peut revendiquer un ailleurs plus ou moins lointain dans le temps ou dans l’espace de notre terre qui fume. Je fais partie de ces gens-là qui savent pourtant une chose c’est qu’ils se sont attachés. Et mon attachement au territoire bruxellois à sans doute commencé avec la bataille des Marolles dont on parlai y compris dans les milieux privilégiés et internationalisés qui étaient les miens quand nous sommes arrivés. Bruxelles mon amour, ton coeur bat dans les Marolles comme sur les bords du canal ou à Saint-Josse. Je suis même persuadé qu’il peut battre un jour autour du rond-point Schumann ou sur la dalle de la cité administrative, pourvu qu’on ne laisse pas tomber, pourvu que nous nous laissions pas emporter sans rien dire par le grand vent des idées reçues.
Superbe photos et cela fait du bien au cœur de voir que tous les belges ne sont pas des moutons lobotomisés. Les Marolliens sont les derniers vrais belges, ceux qui savent encore ce que veut dire « L’union fait la force » Mayeurke en creusant ton parking t’est tombé sur un os, et tu vas te casser les dents.
Qu’est-ce qu’un « vrai marollien », un « vrai bruxellois », voir un « vrai belge » aujourd’hui avec 50% de la population régionale qui peut revendiquer un ailleurs plus ou moins lointain dans le temps ou dans l’espace de notre terre qui fume. Je fais partie de ces gens-là qui savent pourtant une chose c’est qu’ils se sont attachés. Et mon attachement au territoire bruxellois à sans doute commencé avec la bataille des Marolles dont on parlai y compris dans les milieux privilégiés et internationalisés qui étaient les miens quand nous sommes arrivés. Bruxelles mon amour, ton coeur bat dans les Marolles comme sur les bords du canal ou à Saint-Josse. Je suis même persuadé qu’il peut battre un jour autour du rond-point Schumann ou sur la dalle de la cité administrative, pourvu qu’on ne laisse pas tomber, pourvu que nous nous laissions pas emporter sans rien dire par le grand vent des idées reçues.